Consultant chef de projet MOA dans le secteur financier, Hervé a récemment suivi une formation à Scrum et enchaînera bientôt sur un stage dédié au Framework SAFe (Scaled Agile Framework). Depuis ses débuts chez nous, il y a plus de dix ans, nous l’avons toujours accompagné dans ses évolutions de carrière.
Peux-tu nous dresser ton parcours professionnel ?
Titulaire d’un master finance d’entreprise, je me suis orienté dès le début de ma carrière vers la finance de marché. Lors de mon stage de fin d’études au Crédit Agricole CIB, je travaillais à la réconciliation des options OTC. J’ai enchaîné par un CDD et un VIE à Londres, toujours pour le compte de Crédit Agricole CIB. J’intervenais en tant que middle office avancé en salle de marché.
De retour à Paris, j’ai voulu m’orienter vers la maîtrise d’ouvrage. J’ai emprunté la voie classique : on commence sa carrière par le support applicatif pour ensuite aller vers la MOA applicative et enfin la chefferie de projet. C’est dans ce cadre que j’ai rejoint 42c il y a maintenant un peu plus de dix ans. Depuis, j’ai enchaîné les missions chez Société Générale, BNP Paribas et Natixis. Dans ma mission actuelle, je ne fais plus de la MOA mais davantage de la chefferie de projets.
Quel était ton souhait de formation ?
Le recours aux méthodes agiles s’est généralisé dans le secteur bancaire. L’agilité est devenue incontournable et je souhaitais me former sur Scrum, un framework très répondu en banque d’investissement. J’ai donc demandé à suivre les formations PSM I (Professional Scrum Master) et PSPO I (Professional Scrum Product Owner).
Ces formations certifiantes m’ont permis d’acquérir de nouvelles compétences et de rajouter une ligne à mon CV. J’avais déjà obtenu la certification PMP (Project Management Professional), une certification internationale en management de projet.
Comment s’est déroulée la formation ?
Lors de l’évaluation annuelle, j’ai exprimé mon souhait de formation en anticipant une sortie de mission, afin de m’adapter aux nouveaux besoins du marché. 42c a validé et planifié dans la foulée la formation en question en dégageant le temps nécessaire. Dispensé par l’institut EduGroupe, le stage d’une durée deux jours s’est tenu en octobre à la fois en présentiel et en distanciel.
Le formateur a rappelé les grands principes de Scrum puis a aidé le groupe à se préparer au test. L’épreuve porte sur un QCM de 80 questions en anglais qu’il faut compléter dans un délai d’une heure. Ce qui fait moins d’une minute par question. Pour me préparer, j’ai fait une batterie de tests blancs jusqu’à obtenir 100 % de réussite sur plusieurs séries de suite.
Peux-tu d’ores et déjà capitaliser sur cette formation ?
Tout à fait. J’ai rejoint en début d’année une entreprise qui utilise Scrum à grande échelle. Familier du champ lexical et du framework, je peux mettre en pratique les préceptes enseignés durant la formation. Pour monter encore en compétences sur ma mission actuelle, j’ai déjà demandé à suivre une formation à SAFe, un framework qui correspond à l’application de Scrum à grande échelle. Cette demande de formation à SAFe été validée dans la journée et programmée pour mars.
Quelle est la prochaine étape dans ta progression de carrière ?
Je souhaite monter en puissance dans le domaine de la chefferie de projet. Il y a différents niveaux de pilotage de projet selon la taille de celui-ci. J’entends consolider mes compétences mais aussi démontrer ma capacité d’adaptation avec des expériences significatives. Pour mettre la théorie en pratique, il n’y a rien de mieux que le terrain.
Quel regard portes-tu sur 42c après plus de dix ans d’ancienneté ?
Je n’ai que du bien à dire de 42c. Durant ces dix ans, je m’y suis toujours bien senti. Stéphane Laurent, le PDG fondateur m’a accueilli à 26 ans. J’en ai aujourd’hui 37. La direction a su bien s’entourer. Je n’ai rencontré que des personnes humaines et réactives dans toutes les fonctions support et notamment au service RH. 42c m’a toujours soutenu dans mes souhaits de formation et mes choix de carrière. En tant que business expert, je suis aussi maintenant de l’autre côté de la barrière. Lors des entretiens d’embauche, je challenge les candidats sélectionnés par les RH sur leurs compétences métiers.
Un élément clé alors que les sollicitations dans le monde du conseil ne manquent pas.
J’ai développé un rapport win-win avec 42c. Je m’investis dans cette entreprise et elle est un vrai moteur pour ma carrière. J’ai un vrai sentiment d’attachement pour cette entreprise. Une force alors que les sollicitations dans le monde du conseil ne manquent pas.